Voici plusieur these qui je precise ne sont pas sur mais pretendu.
Les scientifiques sont parvenus à une ébauche d'explication : des témoins auraient aperçus au moment des faits, des "boules de feu" tournoyer autour des victimes. Parallèlement, les statistiques montrent que les cas de combustion spontanée augmentent quand la courbe géomagnétique de la terre est à son maximum. Le phénomène serait donc le résultat d'une intéraction complexe entre des positions astronomiques et l'état physique particulier d'une personne. Les boules de feu dégageraient une énergie immense produisant des ondes radioactives comparables à celle d'un four micro-ondes géant. Certains individus pourraient "appeler" à eux ces ondes radios comme d'autres la foudre. Ainsi seraient expliqués la conservation des textiles alors que le corps fond littéralement. Une possibilité, mais pas une certitude…
Hypothèse d’une force inconnue
Dans le cas des 3 combustions spontanées dans la même journée, certains enquêteurs ont avancé l’explication que « ce jour-là, une force inconnue aurait planté sur la Terre une sorte de trident aux pointes de feu ! »
Hypothèse de l’absorption prononcée d’alcool
Suite au cas de mademoiselle Thaus (mentionné ci-haut) qui aurait absorbé plusieurs litres de vin et un litre de cognac, le médecin légiste américain, docteur Dixon Mann, a émit l'hypothèse selon laquelle les cas de combustion humaine spontanée pourraient s’expliquer par l'état d'imbibition alcoolique particulièrement prononcé des victimes. Une étincelle suffirait alors à les enflammer. Hors, et le docteur Mann le reconnaîtra lui-même, de nombreux autres cas de combustion spontanée concernent des personnes qui ne buvaient que de l'eau.
Hypothèse de la dissolution physique
Certains scientifiques ont poser l’hypothèse d’une sorte de " dissolution " physique, consécutive à la prise de certains médicaments. Hors, suivant cette proposition, il faudrait admettre que les hommes d'aujourd'hui consomment les mêmes substances chimiques que ceux d'il y a deux siècles. Par ailleurs, les enquêtes relatives aux cas de combustions humaines spontanées ont souvent montré que les victimes ne suivaient aucun traitement au moment des faits.
Hypothèses de la punition divine
Pour nier le phénomène, au XIXème siècle on a d'abord avancé qu'il ne touchait que les alcooliques et qu'il était une punition divine. Ce qui n'expliquait pas du tout une combustion aussi rapide et aussi respectueuse de l'environnement. De plus, il a été prouvé expérimentalement que la chair imbibée d'alcool cesse de brûler quand il ne reste plus d'alcool.
Hypothèse de la proximité de la cheminée
Selon cette hypothèse, les victimes avaient pris feu tout naturellement, en s'approchant trop d'une cheminée. Cependant, cela n'explique pas la moitié des cas du passé et encore moins ceux d'aujourd'hui.
Hypothèse du rayon de la mort
Une hypothèse du «mystérieux rayon de la mort » à été émise. Cependant, elle n'explique ni les combustions spontanées du XVIIIème siècle, ni les " suicide psychique " ; elle ne rend pas compte, non plus, de tous les cas.
Hypothèse de la courbe géomatique de la Terre
Les tenants de cette hypothèse relatent que les cas de combustion humaine spontanée augmentent quand la courbe géomagnétique de la Terre est à son maximum. Cette courbe varie considérablement en fonction de l'activité solaire. Cela semblerait indiquer que les combustions humaines spontanées sont le résultat d'une chaîne d'événements complexes, d'une interaction entre certaines conditions astronomiques bien spécifiques et l'état physique d'un individu. Ces conditions pourraient être, à leur tour, les pré-conditions de l'apparition des "boules de feu ". Cette hypothèse avait été envisagée à propos du cas de Mme Reeser (mentionné plus haut), retrouvée brûlée sur un tapis intact, tandis qu'une étrange boule de feu tournoyait au-dessus de son cadavre. Ces "boules de feu", si on se fit à plusieurs physiciens, pourraient dégager une énergie immense, qui produirait des ondes radio identiques à celles d'un four à micro-ondes. Suivant cette hypothèse, les combustions spontanées à l'intérieur de vêtements intacts deviennent possibles. Elles seraient dues à la présence de boules de feu à proximité du corps (ou bien dans le corps), ou alors à l'action d'un gigantesque champ d'ondes radioactives, qui aurait formé une boule de feu s'il n'y avait pas eu un corps à consumer. Ces "boules de feu " étant un phénomène naturel et, puisqu’elles sont capricieuses, on peut les tenir pour la cause la plus probable des combustions humaines spontanées : elles expliqueraient également le cas des victimes brûlées de l'intérieur… sans toutefois donner une clé du phénomène.
Hypothèse de l’état psychique et physiologique de la victime
Comme mentionner plus haut , l’âge et le sexe de la victime comptent moins que son état psychique et physiologique. Par ailleurs, la victime qui est le plus souvent une personne seule, sédentaire, diminuée par la maladie ou par une sorte de dépression, est aussi sujette à la peur et au désespoir. Tout cela peut affecter psychosomatiquement le corps et changer son métabolisme, en provoquant, entre autres, un déséquilibre en phosphagènes et un comportement anormal des mécanismes régulateurs de la chaleur du corps. En soi, ce phénomène n'aurait donc rien d'extraordinaire, ni même d'inexpliqué. Si, en plus, quelques jours après une période d'intense activité des taches solaires, un orage magnétique fait monter très haut le champ magnétique de la localité ou réside la victime, il ne manque plus qu'une étincelle (un rayon cosmique, une poussée naturelle d'énergie à basse fréquence ou la foudre) pour déclencher un "feu de joie " humain.
Hypothèse des feux du suicide
Plusieurs auteurs qui se sont intéressés à la combustion humaine spontanée ont remarqué que beaucoup de victimes semblaient avoir renoncé à la vie, par misère ou par désespoir. Dans certains cas, sans aller aussi loin que les bonzes protestataires, certaines personnes pourraient relâcher, dans une sorte de conflagration fatale, les énergies physiques et psychiques de leur corps. Ce serait donc une sorte de suicide psychique qui serait à la base des combustions humaines spontanées.
Hypothèse de la boule de feu humaine
Cette hypothèse fait appel à la capacité du corps de produire certain gaz facilement inflammable en présence d'oxygène. Le baron Karl von Reichenbach a ainsi parler des "miasmes de putréfaction" du corps humain. Cependant, l'existence de tel gaz n'a jamais pu être prouvé, ni chez les malades, ni chez les bien portants, ni même sur un corps en état de putréfaction.
Hypothèse de gaz provenant du corps
Dans leur traité de médecine légale et de toxicologie, Dixon Mann et W A. Brend rapportent le cas d'un homme gras mort deux heures après son admission à l'hôpital, en 1885. Le lendemain, son cadavre était gonflé, la peau tendue. Il paraissait empli de gaz, mais sans aucun signe de décomposition : "Quand on procéda à des ponctions, écrivent les auteurs, le gaz s'échappa et brûla comme s'il avait été de l'hydrogène. Douze flammes brûlaient en même temps. Si l'homme était mort chez lui, près d'un feu, on aurait eu un autre cas de combustion humaine spontanée." Le problème est qu’on ne peut vivre avec une telle quantité de gaz dans le corps, sinon à l'article de la mort. Or toutes les victimes de combustions spontanées semblaient bien portantes avant l'accident. Soulignons également que, dans un tel cas, les vêtements ne seraient pas retrouvés intacts.
Hypothèse des dysfonctions organiques ou mécaniques du corps
Yvan Sanderson et, avant lui, Vincent Gaddis ont fait des recherches sur la synthèse des phosphagènes dans les tissus musculaires, et en particulier sur la vitamine B10, indispensable à l'approvisionnement du corps en énergie. Ils rapportent que "Le phosphagène est un composé semblable à la nitroglycérine et de formation endothermique. On peut le trouver en grande quantité chez certaines personnes sédentaires, à tel point que leur corps devient combustible comme de la poudre mouillée." Cela peut expliquer comment certains corps s'enflamment facilement. Reste à identifier ce qui les fait s'enflammer.